Bénin : La MISSION de Sakapkérou
La mission des sœurs du Bénin à Sakapkérou. Un nouveau lieu de mission
La Mission de Sakapkérou est une mission qui a commencé il y a quelques années, plus précisément en novembre 2018. Elle a vu le jour avec la communauté de Parakou et est une mission de première évangélisation, d’éducation et d’enseignement.
Aujourd’hui, elle continue avec le concours et le dévouement des sœurs Christiane et Mireille D, et du jeune (maître) du Groupe Feu Nouveau du nom de BIO NEKOUA Wilfried. Un jeune très engagé et bien dynamique déjà dès les commencements. Chacun de nous se donne avec joie à cette mission malgré les péripéties et difficultés qui y sont liées. Et nous sommes présents à cette mission tous les jours de la semaine.
Au tout début, il y a nos sœurs Étienne-Marie, Élisabeth et Valérie qui ont missionné dans ce champ du Seigneur. Elles allaient deux fois par semaine travaillant avec les enfants sous les manguiers. Aujourd’hui, nous avons une paillote et un hangar dans lesquels nous travaillons.
A leur suite, nous avons, nos sœurs Edwige et Rosemonde qui y ont travaillé aussi. Elles allaient les mardis et jeudis pour leur première année, puis la seconde année allaient du lundi au jeudi.
Cette année, le jeune (maître), sœur Christiane et moi, continuons la mission dans la mesure de nos forces et capacités sans oublier nos limites. Nous sommes avec les enfants tous les jours de la semaine du lundi au vendredi. Nous signalons qu’aujourd’hui, le nombre des enfants(apprenants) augmente à grands pas et nous comptons autour de 70 apprenants repartis en trois groupes ou classes comparativement au début, où, ils étaient une vingtaine. Ces trois groupes travaillent avec leurs différents accompagnateurs tous les jours de la semaine.
Le premier groupe qui compte autour de 40 apprenants (les plus petits) est gardé et accompagné par la sœur Christiane. Il travaille de 8h45 à 12h30.
Le deuxième groupe qui compte autour de 20 apprenants (les moyens) est gardé et accompagné par la sœur Mireille D. Il travaille de 8h45 à 12h30
Le troisième groupe qui compte environ 11 apprenants (les grands) est gardé et accompagné par le jeune. Il travaille toute la journée de 8h à 12h30 et de 15h à 17h grâce à la présence du jeune(maître) qui réside dans le village du lundi au vendredi. Il estime aussi que deux de ces apprenants sont déjà prêts pour passer le CEP l’année prochaine. Nous autres, Christiane et moi quittons Parakou à 8h à moto pour le village qui est située à 14km pour démarrer les cours à 8h45 comme notifié plus haut. Certes, à 8h les apprenants sont déjà là en classe et commencent le travail sous la surveillance du maître avant notre arrivée. Ces apprenants sont très contents du chemin qu’ils font et surtout des connaissances qu’ils acquièrent, et ainsi leur joie nous encourage et nous contamine à toujours les rejoindre malgré les fatigues de la route dont l’état n’est pas bon et de la distance. Nous avouons que c’est une mission bien noble qui demande qu’on y prête attention du point de vue de son histoire ou origine (mission d’Éducation et d’Enseignement). Et nous souhaitons, qu’elle prenne une bonne allure et soit dynamique pour le bien des enfants, leurs développement et évolution dans le système scolaire et éducatif. Surtout, qu’il y ait les compétences nécessaires pour la continuer, selon les visions, possibilités, désirs et capacités de la Congrégation et du Vicariat. L’école s’est peu à peu structurée et aujourd’hui nous avons un bureau APE (Association des Parents d’Élèves).
Le premier groupe qui compte autour de 40 apprenants (les plus petits) est gardé et accompagné par la sœur Christiane. Il travaille de 8h45 à 12h30.
Le deuxième groupe qui compte autour de 20 apprenants (les moyens) est gardé et accompagné par la sœur Mireille D. Il travaille de 8h45 à 12h30
Le troisième groupe qui compte environ 11 apprenants (les grands) est gardé et accompagné par le jeune. Il travaille toute la journée de 8h à 12h30 et de 15h à 17h grâce à la présence du jeune(maître) qui réside dans le village du lundi au vendredi. Il estime aussi que deux de ces apprenants sont déjà prêts pour passer le CEP l’année prochaine. Nous autres, Christiane et moi quittons Parakou à 8h à moto pour le village qui est située à 14km pour démarrer les cours à 8h45 comme notifié plus haut. Certes, à 8h les apprenants sont déjà là en classe et commencent le travail sous la surveillance du maître avant notre arrivée. Ces apprenants sont très contents du chemin qu’ils font et surtout des connaissances qu’ils acquièrent, et ainsi leur joie nous encourage et nous contamine à toujours les rejoindre malgré les fatigues de la route dont l’état n’est pas bon et de la distance. Nous avouons que c’est une mission bien noble qui demande qu’on y prête attention du point de vue de son histoire ou origine (mission d’Éducation et d’Enseignement). Et nous souhaitons, qu’elle prenne une bonne allure et soit dynamique pour le bien des enfants, leurs développement et évolution dans le système scolaire et éducatif. Surtout, qu’il y ait les compétences nécessaires pour la continuer, selon les visions, possibilités, désirs et capacités de la Congrégation et du Vicariat. L’école s’est peu à peu structurée et aujourd’hui nous avons un bureau APE (Association des Parents d’Élèves).
Sr Mireille DADEGBE